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well done!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
je te félicite pour cette intervention remarquable.
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Bonsoir,
les apprentis ne savent vraiment pas la chance qu ils ont et encore ils abusent!
ça me revolte!
je suis une jeune fille de 21 tres motivée en deuxieme année de licence de chinois et mon but depuis tres longtemps est de faire de la cuisine française en Chine. Donc à partir de la rentrée 2008 il est temps pour moi de commencer un bep cujisine en apprentissage(sur nîmes,ou Avignon ou encore Montpellier), le probleme c est que je ne trouve pas de maitre d apprentissage et je commence à avoir peur...
je ne comprends vraiment pas les jeunes qui ont l opportunité de travailler dans un restaurant et qui la gâche...
Enfin, il ne faut pas desesperer...
Bon courage à vous!!
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ouah!!!!!!!!!!!cé vraii c'est dur pour les jeunes.........mais pour lles futurs séniors sur la touche.
personnellement je cherhe un poste, mais on vois la date sur ma carte de sécu, ben...o me mets sur un poste d'attente. j'ai même quitté , enfin arrête mon cdi car en encollectivité on vous presse comme un citron, même avec le zeste!!!!
ancienne serveuse en club de direction,on me 'coll' à la plonge.bref, étagère. il n'y a pa de sots métiers, mais quand même. même en cne, je n'interesse +, et ça me fout le bourdon; en + j'aime bien cuisiner, alors je me défoule avec mé gamelles.
si vous êtes interessé par mon profil,je prends mes bouts de bois et mes minous et je quitte Paris en courant.ô nord comme à l'ouest, ou dans l'autre sens.
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En temps qu'apprenti vous m'avez l'air d'un chef tout a fait recommandable... Mais vous savez beaucoup considère encore la cuisine comme une "voie de garage". Je sais que personnellement c'étais le rève de ma vie mais hélas beaucoups de jeunes sont attirés par l'alternance à cause du salaire qui est à la clef et "pete un cable" lorsqu'il voit à quel point le métier est dur et qu'il non plus autan de vacances qu'avant...
Après je viens de livrer la réfléxion d'un jeune apprenti de 16 ans en bep alternance passionné par ce qu'il fait de sa vie et qui compte bien continuer sur cette voie...
Sur ce j'espère que mon témoignage vous aura été utile et que vous trouverez vite de bons apprentis, CHEF.
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ok ok
mais je ne cherche pas trop à faire figure d'exemple ici.
de plus je ne passe pas plus de 4 minutes sur les forums.
je veux bien faire un effort ;)
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Bonjour Arthur, Jean-Philippe, Flying et tout le monde,
Alors Arthur, je vois que cela ne va pas mieux. Allez, courage. Moi je cherchais une entreprise, promesses, promesses et puis rien. J'ai donc abandonné, pourtant ce n'est pas dans mon caractère et puis grosse déprime à la limite de la dépression et puis je me suis dit vas-y reprends-toi, ce n'est que partie remise mais là je vais avoir le temps de ne pas me laisser mener en bateau. Peut-être, pendant un temps, tu devrais laisser tomber l'idée de l'apprentissage ou prendre toutes les garanties. Dans le cadre de diverses formations AFPA (j'en ai fait quelques unes de 1980 à 1995 dans le tertiaire) avec les formateurs et les maitres de stages, il ne fallait pas rire. Je pense, mais je n'ai pas la science infuse, qu'il faudrait que tu vois avec le responsable de stage de la formation.
Je vais peut-être blesser certaines mamans dont les enfants font des stages qui ne les confortent pas mais je suis d'accord avec les personnes qui les forment, j'ai ma fille aînée qui a fait des études d'horticulteur fleuriste (profession exercée chez nous de générations en générations, j'y ai réchappé..)et pendant ses stages, elle devait faire les marchés, sur la pluie, par vent, se lever très tôt le matin, travailler dans les serres par tous les temps mais elle a très bien compris que c'était le revers de la médaille pour un métier qu'elle aimait. Je pense que chaque métier a ses avantages et ses inconvénients mais c'est vrai qu'il manque parfois de la passion, de l'envie de travailler et surtout du travail bien-fait.
Ne d'espère pas, je n'en suis qu'à mon 5ème effec de création d'entreprise ou d'entreprise. Apparament, tu es de l'Aisne ? courage et bises. Floriane
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Avez-vous bien lu le titre de mon message?
"Mauvais patron peut etre..mauvais apprenti aussi!!"
Certes mes apprentis font marcher le restaurant, seulement voilà ils en sont content!!
Mon apprentie serveuse qui a fini en juin se galère et va arrêté son bac pro parce qu'elle ne fait que du service, sans prise de commande, sans facturation etc...dans un autre établissement!!
Mon apprentie deuxième année sait faire touts mes desserts, elle tient le poste chaud depuis juillet,elle entiérement polyvalente et compte tenu de son parcour scolaire c'était pas gagné!!
Alors ne me jugé pas sur les expériences de votre fils!!
J'ai fais le bacpro restauration avec ses stages non rémunérés, je me suis donné a fond dans ses stages, j'y ai pris des responsabilitées trés vite, et j'essaye que mes apprentis suivent ce chemin.
Je pense être un bon formateur à qui veut bien être motivé!!
Mon dernier apprenti il est en prison pour 6 mois!!
L'avant dernier les gendarmes sont passé prendre son adresse il y 2 jours!!
Alors je pense que le malaise il surtout en dehors de mon établissement.
Je ne nie pas qu'il y ait des abus mais pas chez moi.
Les horaires sont reglo!!les vacances, les jours de repos même en saison!!
Je pense qu'il manque la passion, l'envie de reussir, l'envie de bien faire..
Pour finir concernant ma présence aux examens!! qui sans professionnel na pourrait se passer..
J'ai accepter d'y être pour me remettre en question, savoir s'y j'en demandais trop ou quoi!!
Je souhaite a votre fils toute la reussite possible!!
car lui il a eu la chance d'avoir un niveau scolaire qui lui a permis de faire l'école hotelière comme moi, et une mère qui le suit croyer moi ce n'est pas le cas de beaucoup d'apprentis!!
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je lis un peu tardivement votre message,
mais je trouve scandaleux de vouloir faire fonctionner un restaurant qu'avec des apprentis! je ne vois pas comment vous auriez le temps de les former.
Mon fils est en terminale bac pro option cuisine, les stages il en a fait pas mal durant sa formation, je sais donc de quoi je parle. Le restaurant qui fonctionne avec les apprentis il a connu, le restaurateur soit disant examinateur aux examens, il a connu aussi. Le chef cuisinier formé par apprentissage douloureux qui reproduit sur les stagiaires ce qu'il a connu et qui ne supporte pas que les élèves fassent une formation niveau bac pro alors qu'eux ont un CAP, çà aussi il a connu. Je connais mon fils, je connais ses difficultés mais aussi ses qualités alors je sais ce qu'il faut penser des commentaires de certains chefs. Il faudrait certainement aussi vous remettre en question.
J'ai moi même formé des élèves dans une autre discipline que la cuisine et je m'aperçois que le milieu des cuisines est vraiment "à part". Les élèves sont utilisés aux tâches de base et participent rarement à la cuisson des viandes. Comment voulez-vous qu'ils apprennent? ma conclusion est que pour la suite de ses études (mention complémentaire en pâtisserie), je vais certainement m'adresser à une école payante du style ESCF, LENOTRE, BOCUSE ou autre.
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Encore une nouveauté!!
Nous venons d'apprendre lors d'une reunion dans notre CFA que de nouvelles subventions allaient être distribué...sous reserve que les apprenti soit assidus au cours ..normal!!
Sauf que... ils ne doivent pas être absent plus de 20% du temps prévu sur les 400 heures (justifié et non justifié cumulé).
Ces subventions seront contractuelles avec les 2 parties ENTREPRISE ET CFA et signé par les apprentis!!
Sans contre partie pour eux!!
En fait ils detiennent le pouvoir de nous faire perdre ces 2 subventions!! c'est incroyable!!
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Bonjour, désolé pour le temps de réaction, j'étais un peu absent ces derniers temps.
Ce que tu m'expliques ne me choque absoluement pas et je partage dailleurs ce point de vue.
La notion de productivité doit faire partie de l'apprentissage (monde de la cuisin ou du bâtiment c'est pareil), il y a dehors une guerre commerciale qui fait que tout ce que le chiffre que l'on aura pas réalisé aujourd'hui ne sera pas ratrappé demain.
L'expérience doit faire évoluer le jeune vers plus de savoir faire et de productivité c'est clair.
Ce qui pouvait l'être moins dansmon premier message c'est que la gain obtenu par la montée en puissance d'un apprentis ne peut (pour moi) être qu'un plus pour l'entreprise. Il ne devrait pas sagir d'un ressort tactique pour que l'entreprise fonctionne. En d'autre terme la présence ou non dans l'entreprise ne devrait pas impacter celle ci au point de la pénaliser fortement en cas de départ du jeune.
Là, nous route se rejoigne car le jeune doit gérer la pression tout à fait normale d'une rentabilité d'entreprise (c'est une composante de l'apprentissage) mais lorsqu'il doit également par son travail impacter la notion de même du résultat "vital" de l'entreprise (je pense que c'est beaucoup).
Voilà je pense de plus qu'il doit y avoir quelque part une sorte de sélection naturelle qui s'opère en fonction des métiers. Un réagira mieux dans un cadre qu'un autre qui ne supportera pas celui d'un troisième. La notion de perle à trouver n'est pas si éloignée et la chance peut être aussi un peu présente.
Bonne journée et bon courage à Arthur initiateur de cet intéréssant échange.
Lenoil
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Bonjour, Je suis à la bourre et je n'ai pas tout lu pour rester neutre et objectif. Je suis chef de cuisine, formateur en CAT avec 14 travailleurs handicapés mentaux avec 10 mises en milieu ordinaire de travail, je suis aussi à la base de la formation de 7 apprentis avec 7 réussistes en CAP/BEP.
En lisant tout ceci, je me suis demandé ce qui pouvait peut être faire une difference entre l'arpette et l'apprenti, la valorisation ? dans votre cas, il semble que ce soit pratiqué, la transmission du métier ? là aussi, à vos dires, il semble qu'il n' y ait pas de doute à avoir.
Alors qu'est ce qui fait que l'on puisse avoir une succession d'échec ?
Nous sommes tous concerné par ce probleme, la voie de garage qui existait déjà à mon époque d'apprentissage, mais qui est encore plus flagrante de nos jours. Les jeunes ne savent pas vers quoi s'orienter, et bien souvent ils vont aller vers ce qui leur rappelle de bons souvenirs. Et quel meilleurs souvenirs que les moments partagés à table ou les bonnes odeurs du four de la grand mère etc...
On se retrouve donc avec des gens qui croient que la cuisine et le metier de cuisinier ( ou de l'hotellerie) sont des metiers de proximité relationnelle et sentimentale. Quelle deception au moment où l'on se retrouve entre plonge, pluches, ou/et responsabilités que l'on ne veut pas .. très rare sont ceux qui veulent s'investir dans une responsabilité que l'on ne leur a jamais confié jusque là.
La relation, là est le secret, qu'est ce qui fait aujourd'hui que malgré mon coté " très dur" les gens avec lesquels je travaillent ont du plaisir et obtiennent jde bons résultats, c'est la relation prévilégié, le respect et la confiance.Je ne me permettrais aps d'avoir un quelconque jugement sur ce qui est fait ailleurs, mais je sais aujourd'hui ( car c'est ausi mon métier de moniteur) pourquoi les résultats sont là.
Dernière chose, dans les moments ou je n'étais pas pret à apporter uniquement mon savoir à un apprenti, je n'en ai pas pris. Le coté commercial et bénéfice de la personne n'a jamais était un critère de recrutement .Alors bien sur, on me fera le couplet sur les subventiosn et tout le toutim que je connais déjà par coeur, mais avant de dire cela, il faudra dabord étudier le fonctionnement d'un CAT.
Je vous souhaite beaucoup de courage dans votre quête,en esperant qu'en dehors de votre coté formateur, l'éducateur qui sommeil en vous va ressortir pour donner encore plus envie à votre apprenti de vous "admirer".
Et oui, les jeunes d'aujourd'hui n'ont plus de repères, et si vous n'en êtes pas un, vous perdrez à chaque fois.
Courage
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bonjour lenoil
je ne suis pas tout a fait d accord avec toi
il est vrai qu au depart le jeune doit aller doucement pour bien faire mais par la suite doit pouvoir accelerer dans ce qu il fait pour pouvoir voir autre chose.
le batiment est peu etre un domaine ou l on touche automatiquement toute les etapes de fabrication mais si par exemple un apprenti doit monter un mur et attendre le lendemain pour l enduire(je n y connais rien, c est juste un exemple.), si a la fin de la journee sont mur n est pas fini, il devra se finir le lendemain et l enduit ne se fera que le surlendemain. mais ces travaux il y a certainement une semaine pour les effectuer cela est surement rattrapable
je revien a mon domaine si un apprenti prend en compte l enfournement des viennoiserie, assister au depart du formateur mais deux ou trois mois plus tard, a le faire tout les jours il est normale qu il soit tout seul devant. si au lieu de mettre 45 min pour laissez le four vide il mets 1h30, le boulanger qui est derriere ne peut pas mettre au four ses fournee de speciaux et de pain blanc, ce qui fait qu au magasin le client n est pas satisfait et repart soit au meilleurs des cas avec ce qu il ne voulait pas mais au pire sans rien. la c est irratrapable.
autre exemple, je suis parti livrer a 7h30 ce matin, mon apprenti commencait a garnir 4 tartelettes citrons, 4 tartelettes framboises, 1 tartes 5 pers fraise framboise et 25 tartelettes au fruit en petit fours (temps estimer pour le tout, 30 min maximum sans se presser en faisant une pause café) les tartes sont monter au magasin a 9h45 autant dire qu il m a entendu pendant ces 2 bonnes heures et que la deco des entrements lui es passer sous le nez.
tout ca pour dire que, ce que le jeune fait et refait tout les jours ne lui permet pas d evoluer vers d autre preparation s il n a pas dans ses objectif la rapidite.
la rapidite , la productivite et la rentabiliter doivent etre inculquer pendant l apprentissage, au meme titre que la precision la rigueur... c est un passage obliger qui permettra au jeune de mieux s organiser et de faire face a toutes sorte de probleme qui arrive sans prevenir et dans l alimentaire il y en a .
ensuite la paye, c est vrai 350 euros (390 dans la boulangerie) c est peu, pour un ouvrier, mais pour un jeune qui n y connais rien on peut se dire des fois que c est cher payer. mais suite a l augmentation de ses competences, la remuneration augmente aussi.
j ai expliquer a mon apprenti actuel qui arrive dans une journee de 7 heures a me prendre 4 heures de retard dans un travail qui m en demande 3, sont objectif est de ramener sont travail a 5 heures ce qui est plus que raisonnable, durant les 2 heures qui reste ont fera des nouveautes. s il n y arrive pas, il resteras au niveau actuel. je lui est expliquer aussi que sont salaire ne bougerais pas meme avec ses heures sup tant qu il restera a son niveau de vitesse mais que sa remuneration augmenteras s il arrive a etre non pas rentable mais productif. autant les heures sup sont interdit pour les mineurs, autant elles sont necessaire pour lui montrer ce qu est le boulot mais en contrepartie, si elle sont justifier, les heures sup doivent etre payer en l occurence sous forme de prime de rentabilite
bye
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en effet :/
dur dur
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Je ne cherche pas que a faire plaisir!!!
J'ai besoin d'apprenti comme je l'ai expliquer plus haut.
Je rencontre les parents a chaque fois!!
J'avais signer un contrat en aout suivit d'une démission au bout d'un mois...
Je prends les apprenti quand il se présente..dans mon secteur il y a 200 demande d'apprenti pour 100jeunes!!
On prends ce qui se présente et on essaye...
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oula !
tu cherches trop à faire plaisir
recrut mieux que ca !! essaye de voir les parents avant de signer ;)
et aussi signe les contracts en aout comme ca tu es sur qu ils resteront jusqu a la fin du contract. pk souvent ils partent apres l'examen...
enfin c mon avis
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Merci encore pour ces encouragements.
Bravo aussi pour ton courage.
Je viens de prendre un quatrieme et dernier apprenti.
Trés poli..a l'heure...interessé...mais...il y a forcement un mais!!
18 ans dernière classe fréquenté 5ème!!!
rien fait de puis 4 ans... a si des conneries qu'il m'a avoue de son propre chef(un pousser par sa mère)
cambriolage fugue vol de voiture resultat 2 mois de prison!!
Je decide de lui laisser sa chance lea leçon semblait avoir été comprise.
Semaine suivante, il m'annonce un rendez-vous au tribunal le jeudi aprés midi, pour solder ses aneries" .
Jeudi matin ce sont les gendarmes qui sont venus le chercher!! pour être sur qu'il se presente.
Je bosse donc seul.
Retour vendredi de mon apprenti resultat 24 mois avec sursis!! et des travaux d'interêts collectif a faire!!
Si aprés tout mes déboirs on me dit que je n'ai pas été marabouter alors là...
Mais je m'accroche, nous avons pas mal discuter il semble motivé et décidé a sortir de cette m.... pour de bon!!
Affaire à suivre...
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bonsoir arthur
c est vrai que les apprenti sont totalement different de ceux que nous etions a notre epoque (pas si lointaine pourtant). actuellement j ai un petit jeune de 16 ans sorti de 3eme insertion. apres trois mois en entreprise il est toujours d une lenteur exceptionnelle, plus lent c est un gars dans 4 planches de sapin; a titre d exemple 25 min pour dorer et rayer 12 chaussons au pommes, 45min pour dorer et mettre au four 9 plaques de viennoiseries diverses, 2h30 pour garnir et glacer 18 pieces de pates a choux... au depart je le faisait partir aux heures prevu malgrer le travail non finit, depuis 1 mois je le fait presque finir son travail mais il apres 2 heures sup je le lache et je finis l apres midi,
je pourrais arreter la sa formation mais j insiste avec lui car je sens que je peut en faire quelque chose. malgrer ca, a l approche des fetes je commence a avoir peur.
mon dernier apprenti ne voulait pas rester dans ce metier et voulais abandonner dans la premiere annee au debut des fetes, je l ai pousser comme je pousse mon p'ti dernier et il est arriver 2eme de son ecole en patisserie. il a quand meme decider de prendre une autre voie mais du gamin qui se sentait bon a rien en est ressorti un jeune homme qui sait qu il peut avoir ce qu il se donne la peine de chercher.
actuellement mon apprenti fait entre 8 et 9heures par jour avec 2 jours de repos consecusif et sa semaine d ecole je ne le voit pas le week end, cela fait beaucoup d heures sachant qu il ne devrait en faire que 7 par jour mais en allant a une allure normale, j abat son travail en 3 heures.
j ai beau lui expliquer que la periode ou l on est est la plus calme de son apprentissage, je ne vois pour l instant aucune amelioration.
je ne sais pas, au niveau ou j en suis, si en augmentant la pression (inevitablement) il va craquer ou bien s exciter. on verra...
en attendant ne perd pas courage et cherche encore a faire connaitre ton beau metier.
bye
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Merci beaucoup, c'était long?
non quand c'est interessant et reflechi ce n'est pas long!!
Merci pour ces conseils judicieux.
Malgré tout je pense être un bon formateur, je passe beaucoup de temps a expliquer dans nos moments calmes.
Je passe mon mardi aprés midi(ou je suis fermé) et sur leur temps de travail pour voir avec eux leurs devoir professionnels et non professionnels.
Je n'ai pas beaucoup de temps ce matin mais j'y reviendrais. MERCI
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Bonsoir, j'ai parcouru avec intérêt ce theme parceque je forme moi même les gens avec qui je travaille et suis dans le même temps responsable d'un centre de formation (bâtiment)
Pour les apprentis il y deux choses que mon expérience m'a amené.
La première on ne echaffaude pas sur du sable: Un apprentis c'est quelqu'un qui est la pour apprendre.
Il m'a toujours été néfaste de plaquer une pression de production constante avec en bout un objectif rapide de rentabilité. Sans rien faire ou faire lentement son rôle est de faire bien. Cela seul l'homme de métier peut lui transmettre et validé l'acquis, le patron n'est pas dans cette approche. De fait il y a conflit d'intérêt. Le jeune le ressent et aujourd'hui on le sait tous juge très vite qu'il n'est pas là pour remplacer un professionnel (surtout au prix ou il est payé, il a pas oublié d'être bête sur ce coup).
J'aurais tendance a te conseiller de bien séparer les moments ou tu es patron et l'homme de métier et l'expliquer directement "Bon, maintenant on calme le jeu et regarde comment on doit faire!" Cela te créera un relationnel peut être plus clair et un jeune plus à l'écoute.
L'idée de prendre contact avec les formateurs est essentielle en effet mais as tu pensé a te faire "auditer" par un de ceux là.
On n'est parfois surpris de l'impact que l'on a sur les autres lorsque quelqu'un s'en fait echos, crois moi des fois c'est la baffe mais cela aide énormement en terme de management.
Pour ce qui est de la motivation, c'est partout pareil et le bâtiment à également son lot de misère. Trop intelligent pour rester là et trop c;; pour aller ailleurs. Les gamins naviguent a vu, il prennent le (et pas leur)boulot comme on prend une purge.
On peut par la réalisation de choses graduelles, par le temps que l'on passe avec quelqu'un, par les rêves que l'on fait naître, je dis bien on peut réveiller un môme et l'intéréssé, on peut lui permettre d'allumer lui même le moteur de sa propre motivation.
J'ai été un peu long je m'en excuse mais tout cela est symptomatique non d'une époque mais de toute les époques.
"C'était bien mieux de mon temps" on entend cela à chaque génération.
Bonne soirée
lenoil76
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lorsqu'on écrit vite ! on peut faire des fautes !!!
ex : en tant qu'enseignant !!!!! oupssssssss!!!!!!!!!